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∞ Daeron. I don't play with fools

Daeron Ingarlion
Daeron IngarlionAdmin
Métier(s) : Commandant de l'armée de Meleroth, capitale du monde Sorcier
Equipements : Une Epée. Un Arc en bois de bouleau avec 20 flèches taillés par ses propres soin.
Son bouclier. Une paire de couteaux forgés par son maître d'arme. Un pendentif fait d'un cristal qui n'existe pas dans le monde sorcier, appartenant à sa mère.


http://foreign-kingdom.forumactif.com/t31-daeron-fiche-de-competences
MessageSujet: Re: ∞ Daeron. I don't play with fools  ∞ Daeron. I don't play with fools Icon_minitime1Mer 18 Avr - 11:52


∞ Daeron. I don't play with fools 1524043299-c26617a752d04f52096266132d2255d5-jpg
Identité
Nom - Ingarlion
Prénom - Daeron
Age - 29 ans
Lieu de naissance - Au nord de Niraven, à l'orée de la forêt de Doriath, dans un domaine isolé.
Sexe - Masculin

Groupe - Sorcier
Race/Particularité - (si besoin) Cracmol

Orientation sexuelle - Hétérosexuel
Statut maritale - Célibataire

Métier - Commandant de l'armée de Meleroth
Niveau de vie - Très aisé
 
Avatar - Clive Standen/Rollo Lothbrok in Vikings
Caractère / Physique

Carnation - Caucasien, bronze tout de même très facilement ce qui ne lui donne pas un teint blanchâtre.
Taille - 1m87
Corpulence - C'est un homme à forte carrure, il ne possède pas une musculature fine mais des muscles épais et imposants.
Cheveux - Bruns et longs -du moins, aux épaules.
Yeux - Marrons
Signe(s) Distinctif(s) - Il porte toujours un collier autour du cou, ayant appartenu à sa mère.

Caractère :« si ça ressemble à un mouton, que ça sent comme un mouton et que ça a le goût du mouton mais que c'est pas du mouton... ben méfies-toi de tes sens ! »Quelques fois l'on dit qu'il faut se méfier des apparences, que l'habit ne fait pas le moine... Et bien concernant Daeron, cette citation n'a jamais été aussi fausse. Il paraît sauvage ? Il l'est. Peu amène ? Aussi. La seule chose qu'on pourrait croire est qu'il ne s'agit qu'une montagne de muscle, et cela s'avère sous-estimé grandement son intellect. C'est un fin stratège, et c'est bien grâce à cela qu'il s'est hissé au haut commandement de l'armée de son royaume. Il n'agit pas avant de réfléchir, bien qu'il soit tout de même assez impulsif. Il sous-estime souvent ses adversaires, mais parvient toujours à s'en sortir... S'en sortir. C'est bien sa qualité la plus appréciable. Il s'en sort toujours...

Ce n'est pas un garçon très sociable, plutôt solitaire d'ailleurs, et consacrant entièrement sa vie à son travail. Sa vocation. C'est ce qui l'a maintenu en vie jusque-là. C'est un homme froid et fier, sûr de lui. Probablement trop d'ailleurs. Et un peu trop irritable... Au fond il s'agit de quelqu'un qui a toujours été seul. Donc on ne peut pas vraiment dire qu'il soit associable, ou qu'il n'aime pas les gens, il ne sait juste pas du tout se comporté avec les gens ce qui complique un tant soit peu ses relations sociales.

Prendre des ordres, en donner. Surtout en donner, c'est quelqu'un de très dominateur. Un léger maniaque du contrôle, mais ce qui en fait un chef de guerre irréprochable. En général, il inspire le respect principalement parce qu'il est lui-même très respectueux. Que ce soit envers ses supérieurs comme les plus démunis.
Histoire« Ce sera un garçon. Un digne héritier, sage. Et un puissant magicien. »

Azog observa sa femme Oliath, le cœur empli de fierté à l’idée que sa progéniture grandissait sereinement au sein du ventre de sa compagne. Un regard amoureux et comblé s’échangea entre les deux époux. Ils avaient dû patienter bien longtemps avant qu’Oliath ne parvienne à porter la vie.

Aujourd’hui était un jour de fête. Aujourd’hui, on leur donnait un fils.



« Elle n’a pas survécu. Je suis désolée Azog. »

Il ne pleura pas. Pas physiquement en tout cas. Son regard se posa sur la jeune femme allongée sur le lit. Il observa ses cheveux bruns légèrement ondulés, tombant doucement le long de ses épaules jusqu’à sa taille. Elle n’était pas belle, elle était pire. Ses yeux qui cachaient de puissantes prunelles émeraudes était désormais clos et son corps recouvert de ses plus belles parures. Elle était déjà prête pour rejoindre Eru en Aman, là où les âmes finissaient toutes au bout de leurs existences.

Un fils. Elle lui laissait un fils.

Un fils à éduquer seul.

Une grande inspiration lui suffit avant de reprendre contenance. Il s’avança vers le front de son aimée afin de lui donner un dernier baiser. Autour de son cou, un collier. Unique. Qui n’avait jamais quitté sa nuque. Le totem de leur secret… Il l’ôta avec la précaution qu’on accorde aux choses les plus précieuses et sortit de la tente avec la détermination de milles hommes.

Dehors, une troupe d’homme qui encerclait la sage-femme.

« Poussez-vous, laissez-moi voir mon fils. »

Un silence de plomb. On le savait colérique, emporté. Comment réagir face à la créature qui a ôté la vie à votre âme-sœur ?

Azog observa cette petite chose dans les bras d’une autre femme et songea que oui, c’était possible. Il pouvait avoir un fils. Avec autant de soins qu’il l’avait ôté, il plaça la chaîne autour du cou du nouveau-né.

« Daeron, tu es tout ce qu’il me reste dorénavant. »



Pourquoi ne pouvait-il pas rester ici ? Le petit garçon releva un visage consterné vers son père. De sa hauteur, Azog paraissait être un géant. Un géant capable de le protéger de tout. Mais il ne rencontra qu’une expression froissée : sourcils froncés, bouche plissée et regard se posant sur tout sauf son fils. L’adulte entraînait maintenant le garçon à une vitesse qui semblait intenable pour ce dernier.

« Père ? Père ! Mais… Papa, on va où ? »

Son paternel resta d’un silencieux alarmant. Il avait attendu ce jour toute sa vie.

Il allait enfin pouvoir avoir sa propre baguette.

Sauf que l’examen de passage venait d’être effectué et qu’ils repartaient déjà chez eux.

Sans baguette.

« Père ! Vous allez finir par répondre oui ou non ? »
« Tais-toi. »

Cela avait le mérite d’être clair. Il n’avait jamais été un père particulièrement affectueux, même si Daeron se sentait aimé comme personne par son géniteur. C’était un homme pas vraiment démonstratif, voilà tout. Cependant, jamais il n’avait parlé à son fils avec autant de haine.

Ils montèrent dans leur diligence dans un silence des plus pesant et quittèrent la capitale sans que son père ne lui adresse le moindre mot. Ils repartaient chez eux ? Daeron eut beau taper des pieds et des mains, le visage de pierre et le silence de son père restèrent constant. Daeron n’était pas bête. Il se doutait bien que s’ils rentraient si vite et sans qu’il n’obtienne de baguettes magiques, cela ne pouvait bien signifier qu’une chose. Mais il ne pouvait tout simplement pas imaginer que cela tombe sur lui.

Il finit par s’endormir avec l’intime conviction qu’il s’agissait d’un énorme malentendu.



« Eh gamin, lève-toi ! »

Daeron ouvrit les yeux pour tomber sur le visage d’un illustre inconnu. Son regard balaya le paysage qui l’entourait pour réaliser qu’il ne reconnaissait ni l’endroit, ni personne. Un regard sur sa poitrine le rassura, personne n'avait volé son pendentif.

« Euh… Excusez-moi, où sommes-nous ? »
« T’es à Memnel p’tit. »

QUOI ? Que faisait-il à l’autre bout du Beleriand ? Et totalement seul ? Où était son père ?

« Je… Je ne sais pas ce que je fais là. Vous n’auriez pas vu mon père ? »
« Oh si je l’ai vu. C’est lui qui t’a amené ici. T’inquiètes pas, Marghella va bientôt rentrer. »

Mais qu’est-ce que ça pouvait bien lui faire ? Il ne savait même pas qui était cette femme ! Dans quel pétrin s’était-il encore fourré ? Son père allait lui tomber dessus comme jamais, ça il en avait terriblement bien conscience.

« Et mon père, vous savez quand il revient ? »
« Ah ben il m’a bien fait comprendre qu’il ne… »
« Oh le voilà ! J’espère que tu n’as pas été une brute incompétente avec ce garçon comme tu l’es toujours. »
« Bonjour à toi aussi Marghella. Je te laisse le prendre. »
« Viens par-là, mon garçon, je t’emmène à la maison. »

Mais qu’est-ce qu’il était en train de vivre ?

« Je vous demande pardon mais je ne vous connais pas. Je ne vais certainement pas venir chez vous. J’attends que mon père revienne. Ici. »

Seul un silence de mort lui répondit.

« Quoi ? »
« Ton père. Il ne reviendra pas gamin. »

Pardon ?

« Il… Il s’est arrêté à la bordure de la ville et m’a interpellé sur la route pour me dire qu’il allait te déposer ici. »
« Et alors, qui vous dit qu’il ne reviendra pas, hein ? »

Le regard tendre que la femme portait sur lui se mua en quelque chose de beaucoup plus triste, bien trop mélancolique pour que Daeron ne sente pas le danger venir.

« Parce que c’est ce que font les gens ici. Ils abandonnent leur enfant à une autre vie… »

Une autre vie ? Mais il ne voulait pas une autre vie ? Il voulait sa vie à lui, avec son père, à Niraven ! C’était impossible. Non, il cauchemardait sévèrement et il allait bientôt se réveiller sur la diligence, entouré de son père encore un peu courroucé mais portant le même regard aimant qui avait accompagné Daeron depuis sa plus tendre enfance.

« Tu sais très bien pourquoi tu es là gamin. »
« Pour ce genre de remarque tu peux t’abstenir, Eleborn. Ecoutes, » L’enfant vit Marghella s’accroupir en face de lui de manière prudente. « Je me suis portée volontaire pour prendre soin de toi. Je sais que c’est une situation difficile à comprendre. Alors, reprenons. Tu as passé le rituel aujourd’hui ? »
« Oui… »
« Et ? »
« Et… Et… »

Non non non… Se mentir n’a jamais été dans les habitudes du garçon mais tout un coup, c’est comme si toute la misère du monde s’était abattue sur lui. Voyant qu’il n’allait certainement pas finir sa phrase, Marghella prit le visage de son vis-à-vis en coupe et encra son regard dans le sien avec autorité mais sans brusquerie.

« Il y a des personnes dans ce monde qui ne sont pas prêtes à accepter les autres tels qu’ils sont. Ton père en fait partie. Oui, c’est une triste réalité qui s’offre à toi, et tu risques de vivre des moments difficiles. Mais tu ne dois jamais oublier que ce n’est pas la magie que tu es capable de faire qui fait de toi un bon sorcier. C’est l’homme que tu veux devenir. »

Son état catatonique laissait tout de même filtrer les paroles de la jeune femme.

« Je sais ce que c’est que de perdre quelqu’un. Je sais le vide que cela créé. J’ai perdu mon mari et mon fils il y a quelques années, et si tu l’acceptes, j’aimerais qu’on essaie de combler ce vide que l’on as tous les deux, ensemble. »

Plus tard, Daeron remerciera ciel et mer pour avoir croiser le chemin de Marghella, mais à cet instant précis de son existence, une seule pensée raisonnait dans son esprit au point de lui faire exploser les tempes : Je suis un Cracmol.



« Concentre-toi. »

Daeron, plus qu’essoufflé, observa son maître d’arme avec l’exaspération propre à l’adolescence. Cela faisait maintenant plusieurs mois qu’il s’entraînait avec Eleborn. Et Ilúvatar en est témoin, ce n’était pas facile tous les jours. Il avait la réelle sensation de mettre toute sa rage, toute sa force et son énergie dans ces entraînements et pourtant, il semblait toujours bon à rien.

Peut-être que l’absence de magie en lui faisait tout bêtement de lui un bon à rien.

Il souffla un bon coup et repartit à l’assaut, épée en main. Mais son adversaire esquiva le coup avec beaucoup trop d’aisance et le poids de sa propre épée, presque supérieur au sien, le fit trébucher sur le sol.

« Ce n’est pas en mettant toute ta colère dans ton geste que tu finiras par me toucher. »

Un léger grognement bien trop risible, dû à sa voix enfantine, sortit de la gorge du garçon alors qu’il se relevait. Plus jamais il ne s’entraînerait avec lui.

« Pas seulement en tout cas. »

De rage et d’agacement, Daeron lâcha son épée au sol, et enleva son casque pour l’envoyer valdinguer quelques mètres plus loin.

« Quelle importance ! De toute façon, personne ne m’enverra jamais au combat sans baguette alors à quoi bon ! »

Il n’osa pas croiser le regard fixe et intense d’Eleborn qui ne quittait pas sa silhouette.

« Tu as tort de croire cela. »

Il tournait en rond. Au sens propre comme au sens figuré. Il avait tort ? Quelle surprise ! Ce n’est pas comme si tout allait de travers dans sa vie, que son père l’avait abandonné et qu’il était, par-dessus le marché, un Cracmol ! UN CRACMOL !

« Mon propre père n’a pas voulu de moi, pourquoi un parfait inconnu aurait besoin de mon incompétence ! »
« Tu vas commencer par me parler sur un autre ton, gamin. »

Allons donc ! Il aurait presque envie de taper son poing dans l’énorme tronc d’arbre en face de lui, mais ce serait la garantie d’une douleur beaucoup moins satisfaisante que l’effort.

« Tu as tort. Mais c’est vrai, il te faudra travailler plus que les autres. Il te faudra être meilleur en tout. Plus rapide, plus fort, plus courageux, plus agile, plus intelligent. Il te faudra surpasser tout le monde. Mais si tu y parviens, tu seras aussi plus respecté. Beaucoup d’hommes seraient démunis sans leur baguette, complètement désarçonnés sans leur magie. Tu as l’avantage de ne pas pouvoir la perdre. Toi, tu n’as que toi sur qui compter, seulement toi et rien d’autre. Seulement ta volonté, ta persévérance à aller toujours plus loin, à être meilleur. Et ça, personne ne peut te l’enlever. »

Maintenant, il buvait ces paroles. Parce qu’il voulait y croire ? Il voulait croire qu’il était capable du meilleur, il le voulait vraiment.

« Alors maintenant, tu as le choix. Abandonner et rester un pauvre martyre dans les jupes de Marghella, à pleurer le départ de ton père et la misère du monde sur tes épaules… Ou alors, tu peux choisir d’aller de l’avant et prouver aux autres qui tu es. »
« J’ai choisi. »
« Ce sera dur. »
« Je sais. »
« Tu vas devoir travailler bien plus que les autres. »
« Je sais. »
« Tu devras faire de nombreux sacrifices. »
« Je sais. »
« Et tu devras surtout te pardonner Daeron. »

Son regard ne quitta pas son interlocuteur, mais l’adulte sentit la détermination de l’enfant faillir légèrement.

« … Je sais. »
« Alors ça y est, tu es prêt. »





Quinze ans qu’il n’était pas revenu ici. Même après être rentré dans l’armée, il avait trouvé le moyen de ne pas remettre les pieds sur le sol de Niraven. Mais le devoir l’appelait aujourd’hui. Il avait suivi les conseils et les leçons d’Eleborn, et ce ne fut pas sans efforts. Mais il avait réussi. Il était devenu meilleur en tout. Aucunes armes ne lui résistaient, aucunes stratégies ne lui échappaient, aucuns soldats ne pouvaient l’amadouer. D’autant plus qu’il s’avérait plus magique qu’il n’y croyait. Il avait de la magie, elle ne lui était juste pas maniable avec une baguette. Et quelle magie…Il était imperméable. Imperméable à tous les sorts, même les plus vicieux, les plus anciens, les impardonnables.

Il possédait une magie défensive.

« Capitaine, devons-nous monter le camp ? »

Daeron lâcha la ville des yeux. Elle se trouvait dorénavant à quelques lieux d’ici et se tourna vers son subalterne.

« Oui, allez-y. »

Il était devenu capitaine. Capitaine de l’armée de Meleroth. Et aucun de ses hommes ne songeaient plus à dénigrer son statut de Cracmol. Aucun qui n’ait survécu en tout cas…
Niraven. Il était de retour dans sa ville natale et bien qu’il ait fait le deuil de nombreuses choses, il ne put empêcher certaines questions de traverser son esprit. Son père biologique était-il toujours en vie ? Etait-il parti pour l’autre monde ? Etait-il en danger ? Serait-il fier de lui aujourd’hui ?

Qui sait ?

Son regard se posa distraitement sur le pendentif accroché autour de son cou. Encore un mystère de sa vie. Personne ne connaît la provenance de ce cristal, pourtant il le porte et le tient de sa mère morte en le mettant au monde.

Il aperçut son général se poster à côté de lui, revenant de son convoie.

« Rapport Général. »
« D’après les patrouilleurs, il y aurait... Une rive. »
« Une rive où cela ?»
« De l'autre côté de la mer. »

Ça, c'était inattendu.

« Avez-vous envoyé des hommes ? »
« Pas encore, Capitaine. Nous avons reçu ça de la part du conseil, il est signé par le seau du roi. »

Daeron observa la missive longuement avant de s'en emparer. La lecture fut rapide, efficace et définitivement frustrante.

« Rentrer le plus vite possible ? Ne pas s'attarder près du fleuve ? Qu'est-ce que c'est que ces directives ? »

Évidemment, il s'agissait d'une question rhétorique.

« Très bien, rompez Général et dîtes aux hommes que nous passerons la nuit ici, qu’ils programment les tours de garde, nous partons demain aux aurores. »

Daeron repartit à sa contemplation du paysage pour réfléchir. Il connaissait les rumeurs. Le royaume essayait vainement de les détourner, d'empêcher la population de se poser des questions. Cependant, le jeune homme n'était pas aussi naïf. Quand on mettait autant d'acharnement à rendre un événement peu important, c'est qu'en vérité, la situation était critique.

Et il était bien décidé à découvrir le fond du problème.
Behind The Screen
Qui êtes-vous ? Moi c'est Cannelle ! Je suis plus vue sur les forums sous canelougirl13 ou canou13. J'ai 20 ans, j'habite à Paris et je suis artiste de comédie musicale (oui je viens d'être diplômée, je me la pète. Et puis, vous pouvez en apprendre plus sur moi ici. Wink
Pourquoi nous ? Ahah... Ben c'moi qui l'ait fait donc bon... xD
(c) Never-Utopia

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